A cook, when I dine, seems to me a divine being, who from the depths of his kitchen rules the human race. One considers him as a minister of heaven, because his kitchen is a temple, in which his ovens are the altar.Even though being betrayed by your camera or computer, denied access to your blog platform, or lacking all inspiration is bad enough, having your cooker die on you is probably one of the worst things that any foodblogger and pastry lover can experience as it leaves you feeling completely lost and powerless. Without this essential piece of home appliance (my personal favorite together with my KA), your major working tool, you are absolutely nothing! Well, that's exactly what happened to me not long ago. A terrible and stressful nightmare especially if you are quasi-penniless and cannot afford to buy a replacement straight away.
- Marc Antoine Désaugiers
It all started the day my basic and not so posh, yet beloved 14 years old Bosch oven decided that he was getting tired of the relentless (over)use I made of him and merciless treatment he was getting, so he took revenge on me by gradually falling to pieces until he finally fell “dead” on a sunny afternoon in August. What a Machavellian rascal!
Firstly, the left oven door spring broke, then shortly after the right-side spring crumbled into tiny pieces, and as a result I had to keep the door shut by placing a stool in front of it. Of course, the next catastrophe inevitably had to take place during an absent-minded moment ]..[
So, if you are interested in reading more about my oven misadventures and eager to discover my new recipe, then please head over to the The Rambling Epicure, a daily international food chronicle and online newspaper for which I am a freelance writer and ponder on the meaning as well as significance of food in everyday life. There you'll find my latest article "The Warrior Cook And Quetsch Plum Eton Mess" which I hope you'll enjoy...
Etant donné que beaucoup de mes
lecteurs francophones ne comprennent pas forcément l'anglais et que
malheureusement peu d'entre-eux auront la chance de lire mon dernier billet en date sur The Rambling Epicure, je me suis permise de traduire la recette qui y figure afin que vous puissiez
aussi en profiter car je pense qu'elle pourra vous intéresser.
J'espère que mon "Eton Mess Aux Quetsches" vous plaira car c'est un dessert de saison qui est divinement succulent et merveilleusement parfumé. Cette spécialité figure au patrimoine britannique et a vu le jour dans les années 30 à la très élitiste et select Université d'Eton. A l'origine, il était servi avec des fraises, des bananes et de la glace. La version que nous connaissons actuellement (avec la meringue et uniquement de la crème ainsi que des fruits) est apparue bien plus tard. De nos jours, ce pouding est encore servi lors de la traditionnelle remise des prix de fin d'année académique...
J'espère que mon "Eton Mess Aux Quetsches" vous plaira car c'est un dessert de saison qui est divinement succulent et merveilleusement parfumé. Cette spécialité figure au patrimoine britannique et a vu le jour dans les années 30 à la très élitiste et select Université d'Eton. A l'origine, il était servi avec des fraises, des bananes et de la glace. La version que nous connaissons actuellement (avec la meringue et uniquement de la crème ainsi que des fruits) est apparue bien plus tard. De nos jours, ce pouding est encore servi lors de la traditionnelle remise des prix de fin d'année académique...
Bien entendu, l'Eton Mess (ou le "bazar d'Eton") que je vous présente ici aujourd'hui est une adaptation revampée de cette gourmandise que j'ai concoté lorsque je me suis retrouvée sans four pendant quelques semaines (il a bien fallu improviser). Un pur délice!
Recette par Rosa Mayland, septembre 2012.
Pour 4 verrines/personnes.
Ingrédients:
240g de Compote de questches
4 +1 Meringues de la Gruyère (ou n'importe quelles autres meringues du commerce)
170g de Ricotta
180g de Crème aigre/fraîche/sûre 35g de Sucre glace
2 Pincées de Poivre long en poudre
2 CS de Pistaches hachées, pour la garniture
Méthode:
1. Mettre la ricotta, la crème, le sucre glace et la poudre de poivre long dans le bol de votre batteur électrique. Battre jusqu'à formation de pics mous et obtention d'une consistance mousseuse.
3. Verser 1 cuillère à soupe de la compote dans le fond de chaque verrine, étaler environ 2 cuillères à soupe du mélange ricotta/crème, puis grossièrement émietter 1/3 d'une meringue sur le dessus (une meringue par verrine).
4. Répéter le processus avec le reste des ingrédients.
5. Garnir le dessus des verrines avec 1/4 de la meringue restante (la 5ième) et saupoudrer avec 1/4 des pistaches hachées.
6. Servir immédiatement.
Remarques:
Veuillez vous assurer que la compote de prunes n'est pas trop liquide (faite avec des prunes et de sucre seulement - sans ajout d'eau).
Si vous le souhaiteez, vous pouvez préparer vos propres meringues suisses (voir la recette). Les miennes ont été achetées dans le commerce car lors de le préparation de ce dessert mon four était hors-service.
La crème aigre/fraîche/sûre peut être remplacé par de la crème double et le poivre long par tout autre épice de votre choix (vanille, cannelle, piment de la Jamaïque, tonka, etc ..).
Suggestions d'accompagnement:
Servir comme dessert avec un verre de vin blanc pétillant (Champagne, Moscatto, Clairette de Die, etc ..) ou une tasse de café.